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Introduction

En pédagogie active, l'apprenant accompagne souvent sa tâche par des explications. Son activité métacognitive favorise une meilleure mémorisation, appropriation des savoirs. Il tisse des liens entre les nouvelles connaissances / compétences et celles déjà acquises.
Nous nous inspirons de contextes réels (situations pédagogiques proches de la réalité, transposition au quotidien de la vie en entreprise…) qui ont du sens pour le stagiaire et qui, de fait, accroissent son niveau de motivation. Nous les impliquons en structurant un enseignement basé sur les 8 méthodes ci-dessous.

1. La méthode affirmative

Pour acquérir des savoirs, savoir-faire, savoir-être le formateur dispense des connaissances magistrales et répond aux questions des stagiaires. A l’issue il propose une mise en situation, il complète et renforce les apprentissages en accompagnant le groupe dans la structuration des connaissances et savoir-faire acquis.
Avec l’aide du formateur, la personne analyse la situation professionnelle, prend connaissance des consignes et identifie les connaissances, savoir-faire, savoir-être… à mobiliser pour atteindre l’objectif avec succès.

2. La méthode interrogative : les discussions et débats

Le formateur questionne, sollicite, reformule. Les apprenants reconstruisent en partie les contenus en se fondant sur ce qu’ils savent déjà. Cette technique permet une bonne mémorisation pour l’apprenant de ce qu’il formule lui-même. On développe une forte implication, réflexion et interactivité dans le groupe. La méthode permet de s’adapter aux participants, à leur activité et à leur niveau de connaissance.
Le débat argumenté est une activité très utile pour favoriser l'apprentissage individuel et collectif ; il permet de clarifier le sujet, de faire évoluer les représentations et de progresser dans les pratiques.
Il permet de renforcer des acquis présentés préalablement, de renforcer les relations dans un groupe, il peut faire évoluer positivement les désaccords et approfondir le respect mutuel.
Dans la pratique le formateur organise un débat qui facilitera la prise de parole des participants et qui permettra à tous d'exprimer leurs points de vue sur un sujet donné.
Les points de vue des participants peuvent être convergents ou contradictoires.
Il doit obéir à des règles. Il se termine par une conclusion, qui synthétise les termes du débat.

3. La méthode démonstrative

Le formateur montre comment faire et demande aux apprenants de reproduire ses gestes.
Il illustre son apport de connaissances par une mise en pratique. Cette technique permet une appropriation efficace des compétences par la pratique immédiate, elle sécurise le cadre de la pratique et l’évaluation des acquis.
Avec une approche métacognitive, on crée des tâches qui rendent la pensée de l’apprenant visible, qui démontrent sa compréhension de chaque étape.
On l’amène à réfléchir et à verbaliser ses apprentissages, à garder des traces de ses processus. Et surtout, on l’incite à réfléchir sur ses erreurs et à en trouver les solutions.

4. La méthode active : résolution de problème

Les apprenants sont placés dans des situations problèmes, ils apprennent par eux-mêmes en les analysant et en échangeant. Le formateur est animateur et personne-ressource.
Cette technique permet de sensibiliser et rendre autonome l’apprenant en créant une forte implication du groupe. Elle est basée sur des mises en situation, jeux de rôles et études de cas.
Il s’agit de transposer les problématiques en des questions complexes et des défis, contextualiser le plus possible les apprentissages pour leur donner du sens, aiguiser l’esprit critique des stagiaires, leur permettre de trouver eux-mêmes des réponses et les formaliser ensuite avec eux, les entraîner à savoir mobiliser ces savoirs pour résoudre des problèmes.

5. La méthode expérientielle : pédagogie de projet

L’apprentissage se situe dans des conditions réelles de situations de travail. Il se fait de façon progressive, par essais-erreurs. Cette technique permet une connexion immédiate avec la pratique quotidienne. Elle crée une forte implication des participants et permet d’individualiser l’apprentissage.
Il s’agit ici d’acquérir des connaissances par l’expérience, ce qui lui donne du sens. Cette technique pédagogique est propice au développement de savoir-faire et de compétences, et donc de connaissances procédurales et conditionnelles. L’approche favorise le renforcement de l’autonomie des apprenants ainsi que de leurs habiletés de communication et de collaboration. Au cours de la réalisation du projet, l’apprenant est amené à déterminer ce qu’il doit apprendre, à commettre des erreurs qui le feront progresser, à érer les imprévus.
A partir de projets réels d’entreprise, d’étude de cas, les stagiaires s’approprient des méthodes et des outils pour mettre en œuvre et suivre les différentes phases d’un projet.

6. La culture essai-erreur : anticiper les difficultés des stagiaires

Pour ce faire, on analyse les étapes précédentes, on discute avec les apprenants en atelier, on tire les leçons de nos activités d’enseignement entre pairs, on profite des occasions de perfectionnement dans sa discipline, on se créer un réseau personnel d’apprentissage sur le web, etc.
En pratique, on catégorise les erreurs, on provoque les situations où le stagiaire rencontrera les difficultés que l’on aura identifiées et où il apprendra à les surmonter.
L’apprenant est libre de choisir le niveau de difficulté de la tâche à laquelle il désire d’abord s’attaquer. On donne un temps de partage et de rétroaction aux stagiaires, on intégre le réinvestissement des erreurs aux activités d’apprentissage, on s’assure qu’un dispositif est en place pour que le stagiaire cible ses objectifs et expérimente les moyens de les atteindre.
Il s’agit pour les apprenants de multiplier les occasions de rebondir, d’aller de l’avant au lieu d’avoir tout perdu.

7. La collaboration

En créant des activités d’apprentissage plus courtes, mais plus complexes, en explorant les différentes tâches, les différents rôles de collaborateur. Elle vise à encourager les apprenants à croire en leurs capacités et à combiner leurs forces pour surmonter les défis.

8. Les jeux de rôles et simulations

Le jeu de rôle met l'apprenant au centre de son propre processus d'apprentissage, lui permettant de s'exercer et d'exercer le droit de se tromper. Dans cette méthode de formation active, le formateur joue un rôle de « facilitateur » d'apprentissage, plutôt que celui de dispensateur de connaissances.
Les mises en situation permettent d’accroître la motivation et l’engagement des apprenants en suscitant des émotions positives. Les jeux de rôle viseront à se projeter en contexte professionnel au plus proche de la réalité terrain.

La politique de formation conduite par Aptitudes 21 vise à promouvoir une logique d’intervention durable, respectueuse de l’individu, de l’entreprise, de leur environnement et de leur avenir.

Il s’agit d’être dans une relation de service qui vise à s’adapter aux besoins de chacun en tenant compte des acquis. Nous sommes à l’écoute pour répondre en permanence et précisément aux besoins.

Passionnée par le développement des compétences et l’épanouissement professionnel, l’équipe pédagogique d’Aptitudes 21 investit tout son savoir-faire pour vous apporter qualités pédagogiques, humaines et créatives.
58 formateurs spécialisés par métier ont été sélectionnés minutieusement pour répondre et satisfaire vos objectifs.

Nos méthodes sont conçues pour enseigner sur un mode interactif et participatif.
Nous accompagnons les apprenants vers une prise de conscience du transfert des compétences acquises vers l’environnement professionnel.
Nous invitons chacun à être acteur de sa formation tout en restant attentif au respect des singularités.

• Vous fournir un service de qualité.
• Être à l’écoute pour répondre précisément à vos besoins.
• Être réactif et trouver vos solutions.
• Vous proposer une offre riche et variée.
• Proposer des dates de session régulièrement.
• Vous assister dans un processus de progrès et de développement.
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